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MacBidouille

News du mercredi 08 décembre 2010

[Mise à jour] Un adaptateur HDMI pour iPod, iPhone et iPad

Le site allemand mobiflip.de parle de ce qui est le premier adaptateur HDMI pour iPhone, iPod et iPad.

L'appareil est capable de sortir directement de la vidéo au format 720p maximum vers tout téléviseur doté de cette connectique. On ignore encore si ce produit arrivera un jour sous nos contrées, il a été déniché à Hong Kong, s'il laisse passer aussi l'audio ce qui serait nettement préférable et s'il supporte le HDCP. Ce dernier point serait important sachant que certains ont eu la mésaventure d'acheter sur iTunes des contenus qu'ils leur a été impossible de lire via le connecteur VGA proposé par Apple parce que ne supportant pas le HDCP.

[MàJ] Macway commercialise maintenant un tel adaptateur:
http://www.macway.com/fr/product/21241/adaptateur-hdmi-pour-ipad-iphone-4-et-ipod-touch-4g.html
Il est vendu 59 euros

Apple menacée de poursuite au Danemark pour ne pas tolérer les seins nus

Le magazine danois Ekstra Bladet qui publie depuis 35 ans sur sa page 9 une photo de jeune femme aux seins nus a menacé Apple de déposer plainte contre eux s'ils ne revoyaient pas leur politique face à la nudité.
Poul Madsen l'éditeur de ce magazine se dit prêt à aller jusqu'à la Cour européenne de Justice pour mettre fin à ce qu'il considère comme de la censure, les photos en question n'étant pas offensantes ni pornographiques.
Il appelle plutôt Apple à définir une catégorie dans laquelle ce type de photos somme toute très "softs" par rapport à ce que tout un chacun peut voir à la télévision ou sur des panneaux publicitaires puisse trouver sa place.

PS: Nous trouvons quand même que la position du rédacteur en chef de ce magazine est bien plus défendable et moins absurde que celle de Playboy qui propose sur l'AppStore des applications où l'on voit des modèles habillés...

Concours iPad chez iCLG

iCLG vient de nous informer qu'ils organisent un concours iPad dans leurs boutiques. Il y en aura un exemplaire à gagner dans chaque point de vente où il faudra s'inscrire, sur place.
Le tirage au sort sera effectué le 27 décembre. 

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[Mise à jour] L'iPad débarque sur le Refurb américain

Hier, et pour la première fois, l'Apple Store américain a proposé des iPad sur son Refurb Store.

La promotion n'a rien d'exceptionnelle étant fixe à 50$, ce qui représente de 6 à 10% du produit neuf. On devrait certainement aussi y avoir droit dans les prochaines semaines.

[MàJ] L'arrivée sur le Refurb FR est imminente. Apple a même déjà créé la rubrique idoine.

LaCie : embusqué derrière ses disques, un Tank !

Si le coeur de métier de la société demeure le stockage et, accessoirement le "Design" (merci Philippe Starck), depuis quelques temps La Compagnie s'est lancée dans la commercialisation de housses de protection. Au-delà, il semble qu'elle ait décidé de proposer un nouveau genre de produit. Plutôt que d'accommoder ses disques durs de vilaines protections en caoutchouc, ce qu'elle a fait jadis avec ses modèles Rugged notamment, la société lance un tout nouveau genre de protection : des boîtiers !

Ainsi, répondant au doux sobriquet de Tank, la dernière création de La Compagnie - dessinée par Poulton -, se résume à un boîtier de protection "tropicalisé" ressemblant à une série de patins de char ou de bulldozer. L'idée étant de protéger au mieux votre disque dur 2.5" mais pas seulement puisque le produit peut aussi accueillir un APN ou une console de jeu portable à l'image de la Nintendo DSi. Clin d'oeil aux matériels mitilaires US dont il serait conforme aux normes, le Tank est commercialisé la bagatelle de 25 euros environ. A ce prix là, on paie son "rapatriement" vers l'Hexagone, son pays d'origine, alors qu'il est fabriqué en Italie. Ah... Les conflits numériques ont la vie dure.

[Mise à jour] NVidia a autorisé Intel à supporter le SLI avec Sandy Bridge

Nvidia a annoncé que les futurs contrôleur destinés aux puces Sandy Bridge d'Intel pourront supporter le SLI . Il sera donc possible, avec une carte mère d'origine Intel de faire du SLI, ceci consistant à accoupler plusieurs Geforce pour en cumuler la puissance.
En théorie, on pourrait donc en bénéficier dans de futurs Mac Pro. Sous Windows, ce sera facile. Pour que l'on puisse aussi en bénéficier sous OS X il faudra qu'Apple et NVidia proposent des pilotes supportant ce couplage matériel, ce qui hélas est loin d'être gagné.

Encore un gros Refurb

Apple a dans la nuit et à plusieurs reprises (voir l'historique) ajouté de très nombreuses machines sur le Refurb.
On notera la présence d'un Mac mini serveur ancien modèle (4 Go 2x 500 Go) proposé à 699 euros, soit seulement 200 de plus que la licence seule de l'OS.
Attention toutefois, certaines mauvaises affaires se cachent dans le lot, comme les iMac Core 2 duo vendus parfois plus chers que des modèles Core i3. 

@Le refurb Store

Les taux de pannes des SSD

Outre leur tarif élevé, mais en baisse constante, l'un des freins qui retient beaucoup de gens pour s'offrir un SSD est le manque de recul sur leur fiabilité. Hardware.fr a publié un article sur le taux de pannes de la plupart des composants informatiques distribués par un gros revendeur avec pour la première fois le taux de retours de disques SSD vendus à plus de 100 exemplaires. En voici le résultat par marque:

  • Intel 0,59%
  • Corsair 2,17%
  • Crucial 2,25%
  • Kingston 2,39%
  • OCZ 2,93%

Intel est clairement au-dessus des autres avec moins de 0,6% de pannes. Derrière, on est dans une fourchette allant de 2 à 3%. Ceci peut paraître élevé, mais c'est moins que ce que l'on obtient avec les disques durs de 2 To haut de gamme comme par exemple le WD Caviar Black WD2001FASS qui atteint presque 10% de retours, ce qui est incroyablement élevé.
Notez pour terminer que ces chiffres devraient fortement évoluer dans un sens ou dans l'autre sachant que chaque génération de SSD est radicalement différente de la précédente. 

Xserve ? Apple n'a pas tenu ses " promise "

Pour l'immense majorité d'entre nous, l'annonce de l'abandon de la gamme Xserve par Apple a été mal vue, mais surtout vue de loin car nous n'utilisons pas ces machines au quotidien. Nous avons eu l'opportunité d'en parler avec Frédéric Blaison qui cumule les intéressantes choses d'avoir été longtemps journaliste dans le monde Mac et depuis quelques années administrateur d'un parc de Xserve. Nous lui donnons avec plaisir la parole pour un avis doublement éclairé.

Retour en arrière. Je suis à l'époque journaliste. Univers Macworld venait d'être cédé au groupe TESTS pour redevenir Univers Mac… C'était l'époque des espoirs pour Apple. Une époque pas si lointaine où une amie Américaine me confiait sans rougir : " Apple ? Il ne leur reste plus que le design à ceux-là ! ". Je me souviens avoir livré, à cette époque, un papier détaillé, un papier enthousiaste, sur la stratégie de la firme en direction du monde de l'entreprise. On y parlait sans rougir de calcul partagé en réseau, d'offre " rackable " sans équivalent sur le marché. C'était l'époque où Virginia Tech mettait au monde un immense cluster doté d'un millier de Xserve.
Depuis, de l'eau a coulé sous les ponts de nos espoirs, et pas seulement en raison de la fonte annuelle des neiges…  Chaque page de l'histoire, chaque hiver ont effacé les espoirs des gurus techniques du Mac que nous sommes, ou prétendons être. Apple a fait des choix. Plus exactement : Steve Jobs a fait " ses " choix. Il n'a sans doute jamais été passionné par le monde de l'entreprise, tant le modèle qu'il avait mis en place chez NEXT l'avait emprisonné dans un marché de niche. Là où Steve Jobs a été un génie, c'est qu'il a su imposer ce modèle et les techniques qui ont fait le succès de NEXT en direction du grand public. Hier maître d'un bateau qui sombrait sous les flots d'une révolution audio quasi loupée (souvenons-nous dans quel contexte iTunes et iPod sont nés et d'un fameux mail retentissant envoyé en interne aux cadres d'Apple estampillé d'un " We have missed the boat " retentissons). Aujourd'hui Steve Jobs est à la tête d'un petit empire où il dicte l'avenir de nos loisirs numériques. Si beaucoup aujourd'hui filent vers Androïd, il ne faut pas oublier qu'Apple a redessiné et créé le marché des Smartphones. Si aujourd'hui beaucoup ne peuvent plus se passer du WiFi au quotidien, c'est parce qu'Apple, hier, a démocratisé la technologie au travers d'Airport. 
Apple use toujours de la même stratégie : mise sur le marché d'un produit très " high tech " et révolutionnaire, un produit qui crée le buzz sur Internet, mais un produit qui tâtonne sur le marché et qui ne répond que partiellement, dans un premier temps, au besoin réel de l'utilisateur. Tant que les grands médias font l'éloge de la nouvelle révolution, tout va bien au royaume de Cupertino. Si cette stratégie fonctionne avec le grand public, et les aficionados d'Apple, elle est inconcevable avec le monde de l'entreprise. Là où un consommateur peut se laisser guider par les chants des sirènes de la société de consommation, une DSI doit faire face à des choix pragmatiques, des choix dictés par une forte nécessité de se justifier sur des investissements souvent lourds et qui se paient " cash " au quotidien sur le terrain.
J'ai rejoint le monde de l'entreprise il y a maintenant 3 ans, après avoir passé près de 8 belles années dans la presse Mac. Des conférences QuickTime Live à Beverly Hills aux Macworld Expo estivales à Manhattan, sans compter ces " Developer party " avec concerts privés : j'ai été plus que gâté. J'ai rejoint à titre personnel le programme des développeurs Apple dès la fin des années 90, et je ne l'ai jamais plus quitté depuis, tantôt simple membre en ligne, tantôt membre Select, tantôt développeur, tantôt testeur. J'ai connu les naissances de Mac OS 8 et 9, la mise en place de Mac OS X et les virages pris par Apple. J'ai toujours été persuadé de ce que pouvait apporter tant en terme d'ergonomie que de productivité les solutions d'Apple.
La fin de Xserve, la manière dont elle est orchestrée dans une quasi indifférence, me posent quelques problèmes d'étique. Plus j'ai avancé dans le monde de l'entreprise et plus j'ai dû me confronter à d'autres technologies, dont j'avais souvent parlées sur le papier ; des solutions peu " sexy " comme celles proposées par Microsoft. Plus j'ai senti à quel point Apple avait démissionné depuis un bail de ce petit segment peu lucratif que représentent les solutions " pros ". Je me suis souvent interrogé sur l'essence même de Xserve. N'avait-il pas été créé dans l'unique but de séduire certains décideurs des grands studios Hollywoodiens ? … Le premier signal d'alarme a raisonné dans mon esprit par la difficulté avec laquelle Apple a permis la virtualisation de Mac OS X Server. Alors que dans les datacenters, les baies informatiques laissaient place à des serveurs taillés sur mesure pour les solutions de VMware, Apple a fait le choix d'abandonner sa baie Xserve RAID au profit de solutions tierces comme les baies vendues par Promise. Un premier signal d'alarme donc. Pis, évoluant dans un environnement hétérogène, j'ai été confronté à de sérieuses difficultés. Alors qu'un de nos Xserve basé sur une architecture PowerPC G5 avec Mac OS X Server Tiger nous lâchait un beau matin de Mars en pleine prod, nous avons fait le choix de renouveler notre confiance dans la solution d'Apple. Nous nous sommes équipés de plusieurs Xserve basés sur une architecture Intel, nous avons migré les systèmes vers Mac OS X Server Leopard faute de pouvoir conserver notre configuration sous Tiger. La transition a été douloureuse. Pour survivre dans le monde des solutions Xserve, il faut compter sur le retour des participants de la mailing-list dédiée d'Apple. Je ne connais qu'une poignée de personnes sur la place de Paris pouvant vraiment se vanter de connaître Mac OS X Server sur le bout des doigts. Malgré mon expérience, qui est conséquente, je ne leur arrive pas à la cheville. Perdu face à un crash inexpliqué ? Si vous contactez le support AppleCare, vous recevez en retour un support de niveau 1 dans tous les sens du terme. Votre problème est analysé de la même manière que celui d'un utilisateur d'iPhone qui rencontrerait un souci pour activer son téléphone ! Vous me trouvez intraitable ? Non, j'en ai fait l'amère expérience. On vous renvoie vers de la documentation technique dont, vous vous doutez bien, vous avez déjà pris connaissance. Si votre difficulté représente un problème sérieux (comme la stabilité du serveur), on vous propose de souscrire à un support dédié et fort coûteux représentant plusieurs centaines de dollars… Quand vous devez faire cohabiter un parc de clients Mac et de PC, vous avez le réflexe de choisir de faire cohabiter des protocoles antagonistes par excellence : Appleshare et Samba. Croyez-moi, c'est une bien mauvaise idée au final tant Windows et Mac OS X interprètent le monde des permissions d'une manière insulaire, chacun de leur côté. La politique du moins pire consistera alors à choisir le protocole le moins restrictif, ici dans cet exemple Samba. Quand vous travaillez avec un Xserve et Mac OS X Server, vous êtes ainsi confrontés à des choix restrictifs au quotidien. J'aurais pu citer le monde des domaines et du netboot. Là où la planète entière se tourne vers la virtualisation, les bureaux déportés avec des solutions du style CITRIX XenDesktop ou VMWare View, Apple s'est bornée à promouvoir ses solutions internes comme Open Directory par exemple. Il faut compter sur des solutions alternatives comme Casper 8 de JAMF software pour pouvoir vraiment prendre en main un parc de Macintosh en réseau.
Mac OS X Server Snow Leopard a apporté un petit souffle d'air frais, réglant les principaux soucis de stabilité. Mac OS X Server se démarque pourtant de par de nombreux avantages, comme la politique des licences. Avec un système Mac OS X Server, il est possible pour 500 € de connecter autant de postes clients que possible, sans restriction. Dans le même temps, Microsoft vous facturera chaque utilisateur connecté via un système complexe de jetons intitulé " CAL ". Mais à quoi bon avoir un système si sophistiqué, quand Mac OS X client est déjà un petit système serveur à lui tout seul … À quoi bon perdre de l'énergie à développer l'innovation autour de Xserve alors qu'un simple Mac mini tient la charge comme serveur dans un environnement moyen, tel qu'une école ou une petite PME ?
Apple propose tout un pan entier de son site vers le monde de l'entreprise (http://www.apple.com/business/ ) : c'est un demi leurre. Si vous regardez bien, vous vous rendrez compte que les témoignages dessinent comment Apple aide ses technologies à s'intégrer dans des réseaux déjà existants. On peut se rendre compte que peu de témoignages parlent directement de Xserve ou de l'infrastructure de l'entreprise. En effet, la stratégie d'Apple s'est progressivement orientée – dans les faits – vers un accompagnement de l'intégration de ses solutions " grand public " ou " semi-pro " dans le monde de l'entreprise. Je m'explique avec plus de clarté. Aujourd'hui, Apple accompagne les professionnels pour intégrer iPhone ou iPad dans un système déjà existant, souvent basé autour des solutions Microsoft, que de promouvoir son propre système Mac OS X Server ou d'expliquer comment tirer profit d'un ensemble de Xserve. Aujourd'hui, Apple met plus de facilité à expliquer comment intégrer Mac OS X client dans un domaine Windows, comment un MacBook Pro est terriblement " Design " et puissant que d'expliquer comment un Administrateur Systèmes pourrait tirer avantage des solutions apportées par Mac OS X Serveur Snow Leopard. Et l'annonce de la fin de Xserve, outre le fait que la méthode est peu élégante, vient sceller dans les faits la démission d'Apple envers l'entreprise et les DSI. Je pense à ces directeurs techniques, plus nombreux que l'on veut bien le faire croire, dont le choix a consisté à s'équiper de plusieurs dizaines de Xserve. Il y en a quelques-uns en France, dans l'audiovisuel comme dans le monde de la communication. Ce sont ces personnes qui sont directement lésées, et à qui Apple aura un peu menti depuis des années. Si Xserve devait répondre aux problématiques de la production audiovisuelle, la firme ne se sera jamais vraiment donnée les armes pour réussir dans ce segment. Apple est restée longtemps sur ses acquis. Un peu comme si elle était restée à la première version d'iPhone et qu'elle avait persisté par des mises à jour mineures. Sauf que dans le cas d'iPhone, le marché s'est montré extrêmement juteux, dans le cas de Xserve et des solutions professionnelles, il n'a continué de toucher qu'une niche comme au bon vieux temps de NEXT. L'arrivée de Mac mini Server aurait sonné définitivement sa fin, tant il est taillé pour le cœur de cible réel de Mac OS X Server : les PME et le monde de l'éducation. Proposer Mac Pro Server comme une solution plus professionnelle est un peu une blague. Qui peut sérieusement imaginer intégrer cette solution dans une baie par exemple ? Non, Mac Pro Server conviendra au monteur audiovisuel indépendant ou à une petite structure avide de puissance de calcul. Il ne faut pas se voiler la face.
Aujourd'hui, Apple ne s'est jamais mieux portée financièrement de toute son histoire. Preuve que la stratégie globale est payante. Mais on le sait, les modes sont faites pour passer. Qui peut affirmer que, demain, Apple n'aura pas besoin à nouveau d'une base solide dans le monde de l'entreprise pour se relancer, voir de la base de ses aficionados ? Apple vient de porter là un coup très sévère à toute une profession qui lui avait accordé sa confiance. Je ne prends toujours pas de plaisir avec les solutions de Microsoft, même si j'ai dû me conforter à l'idée qu'aux yeux des entreprises elles représentent le summum des " best practices ". Au final ; que l'on n'aime ou pas Microsoft Windows Server : ça marche presque sans accroc. J'attends d'un regard inquiet l'arrivée de Mac OS X Lion et je me demande à demi-mot – comme beaucoup – Si Apple nous proposera une version Server de ce système. Je me prépare d'ores et déjà à abandonner ma plate-forme historique pour me tourner vers Linux, plus précisément Ubuntu. Au cas où.

Nous en profitons pour proposer à ceux qui utilisent des Xserve au quotidien de nous apporter aussi leur témoignage sur la manière dont ils prévoient maintenant l'avenir dépourvu de ces machines.

SSD dans un iMac 21.5" (2010), une solution plus élégante

Nous venons de mettre à jour notre "Pas à Pas" relatif à l'installation d'un Solid State Drive dans un iMac 21.5" Core i3. Au-delà du démontage et de notre première "bidouille", cette mise à jour de notre article met l'accent sur l'élégance et la simplicité d'installation de la solution, sachant que le démontage de la carte mère, le plus gros du travail n'est plus nécessaire.

Nous vous invitons à la découvrir ici ou , ou tout simplement à "redécouvrir"...

Notez que ce Caddie ayant exactement les dimensions du Superdrive d'origine sera très prochainement référencé chez notre partenaire Macway.

Les Radeon HD 6970 arriveront le 15 décembre

Selon Fudzilla, c'est le 15 décembre qu'AMD lancera et commercialisera les Radeon HD 6970 (et 6950). Contrairement aux apparences et dénominations ce sont ces cartes qui remplaceront les Radeon HD 5870, les cartes les plus puissantes actuellement disponibles sous OS X.
Le tarif de ces cartes devrait tourner autours des 450 euros, ce qui est exactement le prix auquel Apple vend les 5870 sur l'Apple Store.

On devrait probablement les voir arriver dans les prochains Mac Pro, ce qui n'est pas pour demain. En effet, si l'on a eu notre compte de rumeur sur les puces Sandy Bridge pour portables et machines de bureau, on ne sait rien des futurs Xeon qui en seront dérivés. La finesse de gravure ne changeant pas, on devrait rester dans des configurations à 6 coeurs avec en plus l'arrivée de SATA III. A part ça, on a pas grand chose à se mettre sous la dent.

Apple met en avant la location sur l'Apple TV en offrant des téléchargements

Afin de promouvoir les offres de location via l'Apple TV, Apple a proposé à certaines personnes en ayant acheté un téléchargement d'Apple TV de tester gratuitement le système de location d'un film.

Le code de promotion permet de télécharger aux Etats-Unis l'un des 8500 films proposés. Ceux qui en bénéficieront auront alors 30 jours pour commencer à le voir, puis ensuite 24h avant qu'il ne soit plus lisible.

Près de 500 000 euros pour s'offrir l'AppStore

La société userADgents s'est livrée à une étude poussée de l'AppStore français, étudiant d'aussi près que possible les 267000 applications proposées et les 40 000 livres numériques. Ils ont estimé qu'il fallait disposer d'un peu moins d'un demi-million d'euros pour se porter acquéreur de tous les contenus disponibles, le prix moyen des seules applications étant de 1,83 euros.
On imagine quel potentiel économique représente pour Apple cette boutique en ligne et les motivations qui lui font la mettre en avant et la proposer aussi sur l'énorme parc de Mac.
Un jour, si la croissance reste aussi forte qu'aujourd'hui, les logiciels pourraient représenter un chiffre d'affaire supérieur à celui des ventes de Mac, ce qui rapprocherait le business modèle d'Apple de celui de Microsoft.

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