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Microsoft a dévoilé ses derniers résultats, qui montrent une forte croissance du marché de ses tablettes Surface. Le chiffre d'affaires généré a plus que doublé, passant de 400 millions de dollars à 893 millions. Malgré ce chiffre d'affaires en forte hausse, la société perd encore de l'argent sur ce segment, environ 32 millions de dollars.
Cette croissance devrait toutefois inciter la société à persister et même à amplifier ses efforts. On ignore toutefois quelles tablettes se vendent le mieux, les Surface Pro, x86, ou les RT, ARM. Il semblerait que ce soient les premières qui marchent le mieux selon des estimations, ce qui est une mauvaise nouvelle dans la bonne nouvelle car dans ce cas, cela prouverait que Microsoft ne lutte pas réellement contre les iPad et concurrents mais contre les ultraportables, qui auraient dans l'immense majorité des cas été dotés de Windows. Il s'agirait donc plus d'un déplacement du marché qu'une réelle conquête.

L'une des choses qui a fait la force d'ARM est son système de licence permettant à ses clients de grandes libertés de modifications des designs de base pour les rapprocher au mieux de leurs besoins. C'est la raison pour laquelle un processeur A7 est tellement différent d'un Exynos de Samsung ou un Tegra de Nvidia. Chaque société a utilisé à sa sauce les spécifications de base pour ensuite en dévier fortement.
Si c'était une bénédiction sur le marché des smartphones et tablettes relativement fermé à chaque constructeur, c'est un casse-tête maintenant qu'ARM a besoin d'entrer sur le marché des serveurs. Les développeurs n'ont pas envie de devoir s'adapter à chaque plateforme, surtout que nombre de logiciels sont libres et que cela complique énormément leur développement.
ARM a donc décidé dans ce segment de renforcer son emprise en proposant un standard relativement figé.

Ce programme s'appelle Server Base System Architecture (SBSA) et tous les produits qui suivront ses grandes lignes seront compatibles entre eux. Bien entendu des sociétés seront libres de passer outre, mais leurs clients sauront alors qu'ils dépendront intimement de ses développements et portages.

Nous avons mis en ligne un article réalisé par Sylvain Allain comparant des disques durs externes auto-alimentés en USB 3 et/ou Thunderbolt.

Nous vous invitons à le découvrir à l'adresse suivante: 

http://www.macbidouille.com/articles/507/

Vous ignoriez qu'Intel avait son propre App Store ? Vous n'étiez pas seuls et il n'a jamais trouvé ses clients durant ses 4 ans d'existence. Il proposait des applications destinées aux Netbooks et fermera le 11 mars prochain.
Honnête, Intel remboursera tous les logiciels qui ont besoin obligatoirement de se connecter à l'AppUp pour fonctionner.
http://software.intel.com/sites/landingpage/intelappup/faq/list

Intel semble finir de faire table rase des initiatives prises par Otellini pour diversifier ses activités vers d'autres services que son cœur de métier, pourtant malmené par un marché atone et la déferlante ARM.

Malgré les derniers résultats encore en baisse, en grande partie à cause de ventes en baisse de la Wii U, Nintendo a tenu à réaffirmer son maintient de cap. La société va continuer à se focaliser sur son cœur de métier, la fabrication de consoles, et portera ses logiciels uniquement dessus, sans les proposer sur d'autres produits. Elle va toutefois, comme l'annonçaient des rumeurs, utiliser les produits des autres, smartphones et tablettes afin de se rapprocher de ses clients et en trouver d'autres, mais cela ressemble plus à des publicités déportées qu'autre chose.
Elle va aussi opérer un rapprochement entre ses différentes plateformes et proposer des jeux qui seront jouables sur toutes une fois téléchargés.

En mars 2016 elle lancera une extension focalisée sur la santé, le nouveau marché à la mode. Déjà avec sa WiiFit la société avait tenté de faire bouger ses clients. Elle veut maintenant visiblement aller plus loin.

Nous donnons la parole à Romver:

Un coup de gueule auprès de Sage/Ciel : lors du renouvellement de mon contrat d'assistance et de maintenance, le service commercial m'apprend que Ciel arrêtait le développement et l'assistance de Ciel Paye sur Mac, sans même avoir pris la peine de prévenir les utilisateurs avant, sachant que le coût du contrat n'est pas donné chez Ciel. La raison invoquée est que depuis la nouvelle version de Mac Os 10.9, il y a de gros soucis. Or, il faut savoir que les seuls problèmes sont liés aux versions réseaux et non sur les logiciels monopostes. Donc Ciel Paye n'est pas concerné... Pour ce qui est des versions réseaux de Ciel Compta et Ciel Gestion Commerciale, le service commercial m'a assuré une mise à jour des versions réseaux vers le mois de mars.Ce que je trouve dommage, c'est d'être mis au pied du mur et pris en otage par ce genre de comportement. La solution proposée par le service commercial est de passer par une version windows ou une version dématérialisée, coutant une fortune par rapport à mon activité. Il faut savoir que pour s'excuser, Ciel me fait une remise commerciale de 900,00€ pour le désagrément, qui me parait insuffisant face aux problèmes générés, étant donné que je dois boucler les DADS 2013, et que je ne peux plus prétendre à une assistance téléphonique. La solution va être d'aller voir la concurrence et ne plus cautionner une société qui n'a aucune considération envers ses clients. A suivre…

La nouvelle ne nous surprend hélas pas, Sage, la maison mère, arrêtant aussi les développements Mac. C'est toutefois une fort mauvaise nouvelle pour le monde Mac dont l'offre logicielle de comptabilité se réduit comme peau de chagrin.

Pour continuer à faire progresser les capacités, l'avenir du disque dur passera par la technologie HARM, qui chauffe les pistes afin de fixer les données sur des surfaces plus petites. D'autres comme HGST proposent des disques sous atmosphère d'hélium qui permet de caser 7 plateaux dans un boîtier.
Plus pragmatique, le PDG de Seagate a annoncé aux investisseurs que, durant la phase de transition vers des technologies radicalement différentes, la société proposerait des disques 3,5" dotés de 6 plateaux contre 5 au maximum actuellement. Ces disques utiliseront des plateaux de 1 To, soit une capacité maximale de 6 To, 2 de plus que le plus gros disque actuellement proposé.
Visiblement, ce sixième plateau sera installé sans changement particulier de technologie et ne profitera que de la miniaturisation plus poussée des différents composants. Cela évitera en tout cas un trou d'air dans la montée progressive en capacité ou la sortie trop précoce de technologies non encore éprouvées.