MacBidouille

La version 10.0.1 d'iTunes (86,4 Mo) est disponible via la mise à jour de logiciels. Au programme:

iTunes 10.0.1 apporte un certain nombre de corrections de bogues, parmi lesquelles :

• Correction d’un problème détériorant la qualité d’image d’une vidéo en fonction de la visibilité ou non des contrôles à l’écran. 
• Correction d’un problème entraînant parfois la fermeture inopinée d’iTunes lors de la consultation des illustrations d’album dans une fenêtre séparée. 
• Correction d’un problème touchant les performances de certains visualiseurs de tierce partie. 
• Correction d’un problème selon lequel la bibliothèque iTunes et les listes de lecture apparaissaient vides. 
• Correction d’un problème d’incompatibilité avec certaines bibliothèques partagées de tierce partie.

[MàJ] Si les flèches de Ping vous agacent, ce qui est notre cas tapez la commande suivante dans le terminal:

defaults write com.apple.iTunes hide-ping-dropdown 1 

Pour revenir en arrière:

defaults write com.apple.iTunes hide-ping-dropdown 0

Si vous êtes très fâché qu'Apple tente de vous l'imposer, vous pouvez aussi désactiver la barre latérale Ping:

defaults write com.apple.iTunes disablePingSidebar 1

Au début de l'été, Apple avait eu à faire face à une faille touchant le système d'auto-remplissage des formulaires qui permettait à un site spécialement développé dans ce sens de récupérer des informations nominatives. Apple avait alors comblé cette faille dans une mise à jour de Safari.
Visiblement, elle existe toujours même si la procédure pour récupérer les données est un peu plus complexe. C'est ce que relate sur son Blog Jeremiah Grossman. 
Avant, le simple affichage de la page suffisait à envoyer ces données. Maintenant, il suffit de le convaincre de cliquer sur des boutons pouvant avoir un aspect tout ce qu'il y a de plus innocent.

Pour le moment, le seul moyen de s'en protéger totalement est de désactiver le remplissage automatique dans les préférences de Safari.

Le Wall Stret Journal rapporte que de nombreuses sociétés de la Silicon Valley dont Apple, Google, Intel, Adobe... sont en train de négocier à l'amiable avec la justice américaine afin d'éviter d'être poursuivies.
La justice leur reproche de s'être entendues afin de ne pas aller débaucher des employés les unes chez les autres et ainsi éviter une escalade des salaires de ces grosses têtes.
Bien entendu, les employés ont été les grands perdants de ces tractations secrètes puisqu'ils auraient pu sans ces entraves essayer d'obtenir des salaires plus élevés.
La justice ayant des preuves de ces agissements, les "accusées" seraient en train de négocier à l'amiable des amendes. Elles préfèrent ne pas aller au procès qui aurait de bonnes chances d'être perdu et qui ouvrirait alors la porte aux employés de ces groupes (des centaines de milliers) pour demander des dommages et intérêts via une Class Action.

[MàJ] Le département de la justice américaine a publié ses conclusions.
On y apprend par exemple qu'Apple en 2007 a interdit à sa RH de débaucher des employés de Pixar qu'ils n'avaient pas le droit de contacter. Et qu'ils avaient fait la même chose un an avant avec Google. Pour s'en sortir, les sociétés en question ont accepté de renoncer contractuellement à ce genre de pratique.